Une nouvelle génération d’armes biologiques (mycoplasme)

Publié le par lorenbeau

En préparant un numéro spécial sur la grippe aviaire pour un

magazine médical, deux chercheurs ont découvert que cette

pandémie, si elle a lieu, ne sera pas due au virus H5N1, mais à un

pathogène breveté par les États-Unis, le mycoplasme.

Par Donald W. Scott, Maître ès lettres et ès sciences et William L. C.

Scott © 2006

Lorsque nous avons commencé à rassembler autant de données

cruciales que possible à propos de la grippe, nous étions bien loin de

nous imaginer dans quel bourbier nous allions nous fourrer. Nous

pensions que la grippe était une maladie qui revenait fréquemment

chez l’homme, les oiseaux et les animaux… surtout quand ces

groupes cohabitaient plus étroitement que d’ordinaire. Nous savions

également que certains groupes tels que l’Organisation mondiale de la

santé (OMS), les National Institutes of Health (NIH) et les Centers for

Disease Control (CDC) américains, de même que certains groupes de

médias comme le New York Times, claironnaient à tous vents « La

grippe arrive, la grippe arrive ! ».

Un cancer simiesque dans un vaccin

Au fur et à mesure que nous réunissions les faits, nous avons pris

conscience que nous n’avions pas affaire à une éventuelle pandémie

de grippe ordinaire. Nous avons nous-mêmes été stupéfaits par le

tableau qui se dessinait. La citation qui suit est extraite d’un document

du gouvernement américain intitulé « The Virus Cancer Program »

(Programme de lutte contre les cancers d’origine virale). Sur la

couverture figurent la date de juin 1978 et les informations éditeur : «

Division of Cancer Cause and Prevention; US Department of Health,

Education, and Welfare; Public Health Service; National Institutes of

Health ». À la page 19, on peut lire : « … divers vaccins à adénovirus

vivant atténué ont été administrés à des populations humaines

choisies comme mesure de lutte contre les infections respiratoires

débilitantes. Les choses se sont encore compliquées lorsque l’on a

découvert que le papovavirus oncogène [c’est-à-dire ‘tumorigène’]

SV40, prélevé sur les cellules simiesques utilisées pour propager les

adénovirus, était présent en quantité importante dans ces préparations

vaccinales. Puisque des virus hybrides dotés de diverses fonctions

biologiques ont été isolés à partir de populations mixtes adénovirus-

SV40, ces vaccins à adénovirus renfermaient certainement des virus

recombinants de ce genre. Ainsi, plus d’un million de personnes se

sont faites inoculer des spécimens représentatifs de deux groupes de

virus à ADN aux propriétés oncogènes avérées ».

Autrement dit, le gouvernement des États-Unis a injecté un virus

simiesque cancérigène à un million de citoyens américains. Dans les

années 60, des millions d’habitants du Tiers-monde ont été

rassemblés par les militaires étrangers qui occupaient leur pays et

vaccinés gratuitement contre la variole. Les troupes d’occupation

étaient principalement françaises, britanniques, belges et portugaises,

étaient principalement françaises, britanniques, belges et portugaises,

et le généreux donateur du vaccin gratuit contre la variole était

officiellement l’Organisation mondiale de la santé, mais en fait c’est le

gouvernement américain qui a envoyé 17 équipes d’employés du CDC

d’Atlanta vacciner des millions de personnes. On a dit aux

bénéficiaires de cette largesse américaine que le vaccin les aiderait à

échapper à la variole. Cependant, il s’avère aujourd’hui qu’ils

attrappaient autre chose en échange : le virus de l’immunodéficience

humaine (VIH), le rétrovirus supposé provoquer le syndrome

d’immunodéficience acquise (sida).

Si l’on s’en donne la peine, on peut trouver des preuves incontestables

montrant que le sida, qui tue actuellement près de 8 000 personnes

par jour, a été pour l’essentiel « fabriqué aux États-unis »1.

Une maladie « semblable à la grippe » inventée

Ce que nous redoutons, c’est que le monde ait une nouvelle occasion

d’échanger une maladie ancienne (une grippe virale) contre un mal

nouveau : une « maladie semblable à la grippe » provoquée par une

espèce de mycoplasme. En fait, si nos pires craintes se confirment,

une grande partie de la population humaine a déjà été contaminée par

ce nouveau pathogène mortel. Il a été mis au point à partir de son

ancêtre naturel par les organismes gouvernementaux américains de

recherche, développement, essai et déploiement d’armes biologiques

aidés de leurs partenaires universitaires et commerciaux.

D’ici peu, les habitants des États-Unis et du Royaume-Uni vont

certainement devoir accepter une vaccination pour se « protéger »

contre la « grippe ». On ne sait pas au juste contre quelle souche de

grippe ils vont être « protégés », mais l’espèce appelée « grippe

aviaire » et connue sous le nom de H5N1 est présentée dans les

médias de masse comme un candidat possible.

D’autres alliés crédules de la « Coalition » tels que la Pologne,

l’Ukraine, l’Italie, l’Espagne et l’Australie suivront très probablement

l’exemple de leurs « grands frères » britanniques/américains et

accepteront de se faire vacciner pour se protéger contre la grippe.

D’autres pays comme le Canada, la France, l’Allemagne, le Japon et

d’autres subiront la pression de certains médias qui, dans l’intérêt de

leurs « précieux lecteurs », leur conseilleront de faire de même.

À ce propos, soulignons que le président George Bush a déclaré en

septembre 2005 qu’il risquait d’être obligé de faire appel à l’armée

pour administrer le programme de vaccination et confiner les

dissidents dans des camps de concentration jusqu’à ce qu’eux aussi

acceptent le vaccin proposé. Souvenez-vous que le Portugal et la

Belgique ont fait appel à l’armée pour veiller à ce que les citoyens des

colonies occupées en Inde (Goa) et en Afrique acceptent les vaccins «

gratuits » contre la variole qu’on voulait leur administrer à tout prix au

milieu des années 60 et au début des années 70.

Le vieux truc consistant à dire « Voici un vaccin gratuit » a marché

avec les pays du Tiers-monde qui ont involontairement échangé la

variole contre le sida.

variole contre le sida.

Il y a tout lieu de croire que cela marchera encore, sauf que cette fois,

pour le reste d’entre nous, ce sera dans cinq ans voire avant, lorsque

cette nouvelle maladie mortelle aura manifesté sa présence. En outre,

comme nous l’avons découvert, elle a probablement déjà bien

démarré. Cela ressemblera à la grippe, cela tuera comme la grippe, et

les séquelles bactériennes seront là aussi. Mais ce ne sera pas la

grippe !

Une nouvelle génération d’armes biologiques

Aujourd’hui, on a du mal à envisager ce scénario alarmiste, mais qui,

en 1950, aurait pensé qu’à peine 50 ans plus tard l’épidémie du sida

tuerait 8 000 personnes par jour ? Afin de vous aider à accepter la

possibilité de ce nouveau scénario, citons un passage du livre que le

chercheur Leonard Horowitz a publié en 2001 Death in the Air (p. 171)

: « … en 1970, juste après que le conseiller à la sécurité nationale

Henry Kissinger eut appelé à un dépeuplement drastique du Tiersmonde,

ce qui a amené le Congrès à subventionner secrètement une

nouvelle génération d’armes biologiques mises au point par Litton

Bionetics, un contrat prévoyait de tester des souches spéciales de

virus de la ‘grippe’ et de ‘para-grippe’. Comme je l’ai reporté dans

Emerging Viruses: AIDS & Ebola – Nature, Accident or Intentional?,

ces virus de la grippe ont été recombinés avec des virus de la

leucémie pour leur seul usage rationnel : la réduction de la population.

Tout comme le virus du sida, ces nouvelles souches pouvaient être

disséminées plus rapidement pour provoquer un génocide progressif

dont l’auteur ne serait jamais retrouvé. » En outre, bon nombre des

protagonistes qui sont apparus dans cette étude sur la grippe avaient

déjà été rencontrés dans notre étude sur l’origine du sida, où nous

avions découvert qu’il s’agissait d’une arme stratégique de régulation

des populations.

Toutefois, cette histoire va bien au-delà de la simple possibilité d’avoir

quelque nouvel agent pathogène mortel caché au sein du « vaccin

contre la grippe » tant promis. Nous en avons découvert une

dimension nouvelle : un programme destiné à affaiblir les défenses de

l’humanité, plutôt qu’à augmenter la virulence du virus grippal H5N1.

Ne vous fiez pas aux « autorités »

Nous savons que ce n’est qu’en 1960, lorsque Eisenhower a fait son

discours d’adieu en tant que président, que le terme « complexe

militaro-industriel » est entré dans le langage courant. Néanmoins, le

groupe dont parlait Eisenhower est né bien des années plus tôt

lorsque les Rockefeller, les Morgan et d’autres nouveaux riches

américains ont commencé à manifester leur volonté de dominer

l’humanité de diverses façons, notamment en prenant le contrôle des

soins de santé et de la médecine, ce qui leur a permis de contrôler la

vie des masses tout en protégeant la fortune des riches et en

détruisant la vie des plus pauvres.

détruisant la vie des plus pauvres.

Prétextant qu’il allait aider les gens à rester en bonne santé, ce groupe

s’est méthodiquement impliqué dans tous les aspects des soins de

santé, y compris la recherche universitaire, le contrôle de l’exercice de

la médecine par l’industrie pharmaceutique, la couverture médiatique

des questions de santé et le contrôle des organismes

gouvernementaux de santé publique.

C’est là que l’Université Johns Hopkins entre en scène. L’université et

ses diverses facultés sont impliquées jusqu’au cou dans la déformation

des études de médecine. Si vous accordez de la valeur à votre santé

et à celle de votre famille, vous ne pouvez pas vous fier à ses

déclarations sur la grippe.

Le mycoplasme est reconnu par un brevet

Jetez un coup d’oeil au Johns Hopkins Family Health Book (« l’autorité

médicale n°1 en Amérique »), et allez dans la rubrique « mycoplasme

». Vous n’y trouverez rien ! Cherchez maintenant le mot «

mycoplasme » dans le glossaire de cet énorme volume de 1 658

pages. Vous ne le trouverez pas ! Allez voir l’index, regardez à la lettre

« B » et essayez de trouver une référence à la « brucellose ». Il n’y en

a pas. Et pourquoi donc ? Eh bien, ce terme, lui aussi, a commencé à

tomber en désuétude chez les personnes et institutions susceptibles

de le connaître et de l’utiliser, quelque temps après que le

gouvernement américain eut commencé à utiliser la brucellose dans

les armes biologiques, comme celles qu’il a employées contre la Chine

et la Corée du Nord durant la Guerre de Corée2 . Après la guerre de

Corée, les recherches se sont poursuivies mais elles se sont

concentrées sur un dérivé de la particule d’acide nucléique Brucella

abortus, désormais connu comme l’une des diverses espèces de

mycoplasme.

Le mycoplasme est aujourd’hui reconnu par un brevet, détenu par le

gouvernement américain, comme étant un facteur dans « ... le sida ou

l’ARC (syndrome apparenté au sida), le syndrome de fatigue

chronique, la granulomatose de Wegener, la sarcoïdose, le syndrome

de détresse respiratoire, la maladie de Kikuchi, les maladies

autoimmunes telles que la collagénose avec manifestations

vasculaires et le lupus, ainsi que les maladies débilitantes chroniques

comme la maladie d’Alzheimer ». Cette impressionnante liste de

maladies liées au mycoplasme est extraite du brevet américain de

1991 n°5 242 820, dont l’« inventeur » est Shyh-Ching Lo, lequel a

cédé les droits de brevet à l’American Registry of Pathology,

Washington, DC. Autrement dit, le gouvernement américain détient un

brevet sur une arme pathogène et mortelle de destruction massive

sous la forme d’un brevet sur « un mycoplasme pathogène ». Et ce

mycoplasme provoque une « maladie semblable à la grippe » pouvant

s’avérer fatale.

Un gigantesque crime contre l’humanité

La clique de Johns Hopkins n’est que l’une des nombreuses

institutions complices de ce gigantesque crime contre l’humanité, il

n’est donc pas surprenant que ceux qui sont au courant souhaitent

supprimer les termes « mycoplasme » et « brucellose » de « l’autorité

médicale n°1 de l’Amérique ».

Ce qui s’est passé dans le cas de l’élaboration d’armes biologiques

américaines à partir de la brucellose et de diverses maladies

mycoplasmiques est en train de se transformer en un objectif de

régulation des populations sous le couvert d’une pandémie fatale qui

ressemblera à la grippe et sera attribuée à un virus aviaire « mutant »

: le H5N1.

Le « N » dans ce nom d’espèce signifie neuraminidase, chaîne

d’acides aminés apparaissant sur la surface du virus de la grippe et lui

permettant d’accéder à certaines cellules humaines. Si la séquence

d’acides aminés est altérée, elle revêt la forme d’une nouvelle variante

de l’antigène du virus. Il est important de savoir que le mycoplasme

peut modifier certains acides aminés in situ et altérer ainsi le code de

la neuraminidase et du même coup la faculté du virus de la grippe à

accéder aux cellules.

Le principe de concentration

Mais ne vous laissez pas aveugler par tout ce jargon trompeur que

vous déballent les « autorités » et les médias. Le virus de la grippe

responsable de la pandémie de 1918-19, immense tragédie qui a

provoqué plus de 20 millions de décès, peut très bien avoir été lâché

sur le monde sous forme d’arme de guerre biologique, et son

successeur artificiel pourrait bien faire un nombre encore plus grand

de victimes.

Nos recherches nous ont démontré que lorsque les hommes ou

d’autres espèces animales (y compris les oiseaux) sont concentrés

dans un espace relativement confiné, il y a un risque accru de voir

augmenter les maladies d’origine respiratoire. Voyez plutôt les

exemples suivants.

Durant la Première guerre mondiale, des milliers d’hommes ont été

entassés dans de vastes casernes, souvent mal aérées. Les recrues

militaires étaient encore plus à l’étroit dans les transports de troupes et

obligées de respirer le même air pendant des heures d’affilée. Et si cet

air avait été contaminé par quelque pathogène ? Eh bien, dans ce cas,

le pathogène aurait eu de plus grandes chances de se concentrer

dans l’appareil respiratoire et les poumons des victimes.

Dans les fermes industrielles, des millions de poulets et autres

volailles sont généralement placés dans des cages grillagées peu

après leur naissance. Plusieurs cages sont empilées les unes sur les

autres et les fientes des oiseaux tombent sur le sol, où elles sont

récupérées et transformées en complément protéique pour d’autres

animaux de la ferme. Ainsi, les agents pathogènes aéroportés ne sont

pas les seuls à être concentrés, ceux véhiculés dans les fientes le

sont tout autant. À un certain degré, on retrouve la même

concentration dans de petites exploitations avicoles artisanales situées

concentration dans de petites exploitations avicoles artisanales situées

dans des zones rurales d’Asie où des hommes, d’autres animaux de la

ferme (notamment les cochons) et diverses catégories de volaille se

partagent un espace limité pendant la majeure partie de leur vie

quotidienne.

Là encore, le principe est la concentration, élément qui se révèlera

extrêmement crucial lors de notre discussion ultérieure sur le

mycoplasme.

Pour comprendre, il faut partir de la cellule

Le corps humain moyen se compose d’environ 50 billions (50 000 000

000 000) de cellules. Au départ, elles se présentent toutes sous la

forme d’une cellule unique, l’ovule fourni par la mère et fécondé par le

sperme du père. Puis, juste après la fécondation, l’ovule commence à

se diviser et à se différencier afin de créer tout l’éventail de cellules

qui s’associent selon un schéma héréditaire pour constituer toutes les

parties nécessaires du corps en formation.

C’est là que la plupart des gens se trompent au sujet de la santé et de

la maladie, y compris au sujet de la grippe : ils partent du corps dans

son ensemble et parlent d’une seule maladie à la fois (par exemple, «

j’ai la grippe », ou « mon corps est rongé par le cancer »). L’essentiel

est de partir des cellules individuelles qui sont attaquées par des

pathogènes individuels.

Or, à propos de ce que l’on qualifie de pandémie de grippe, il faut

savoir ceci : sous la rubrique « grippe », il y a toute une variété de

pathogènes qui, seuls, combinés ou les uns après les autres altèrent

le bon fonctionnement des cellules individuelles à différents endroits

du corps. Parmi les dangereux pathogènes, il existe diverses espèces

bactériennes, virales et mycoplasmiques s’activant dans les cellules

des différents systèmes de l’organisme.

On ne peut pas dire que la grippe « tue » une personne. Il faut penser

en termes de pathogènes spécifiques endommageant ou détruisant

des cellules spécifiques dans des systèmes spécifiques de

l’organisme, parfois au point que le corps tout entier cesse de

fonctionner. Alors, considérez d’abord la cellule comme une unité

fondamentale et partez de là. L’entité morbide communément

désignée sous le nom de « grippe » attaque surtout le système

respiratoire, et le pathogène attaquant est un virus. Toutefois, au fil

des ans, le terme « grippe » a été employé pour couvrir n’importe

laquelle des nombreuses maladies fébriles qui vont au-delà du

système respiratoire pour affecter pratiquement tous les autres

systèmes de l’organisme. Et il existe aujourd’hui une maladie «

semblable à la grippe » provoquée par mycoplasma fermentans, sur

laquelle nous reviendrons plus tard.

Le pathogène viral sur lequel on se concentre n’est que l’un des trois

pathogènes qui entrent souvent en jeu dans les attaques de ce que

nous appelons au sens large « la grippe ». Ce que l’on a tendance à

ignorer, négliger ou minimiser, c’est le rôle de certains autres

pathogènes tels que les bactéries et les mycoplasmes. Et ces

pathogènes tels que les bactéries et les mycoplasmes. Et ces

derniers, notamment, ne figurent quasiment jamais dans les

documents destinés au citoyen moyen.

Tout le battage tourne autour du « virus de grippe aviaire H5N1 ».

Pourrait-il s’agir d’une manoeuvre délibérément trompeuse destinée à

détourner l’attention du véritable danger ? Sûrement. Nous sommes

convaincus que le fait d’ignorer, de négliger et de minimiser le rôle du

mycoplasme dans la grippe est intentionnel et criminel. La grippe est

une entité morbide spécifique, mais dans le langage courant ce terme

en est venu à couvrir plusieurs entités morbides telles que la

pneumonie, l’encéphalite, la dysfonction endocrinienne et autres. Et

malgré la diversité des pathogènes et l’éventail des systèmes de

l’organisme qui sont affectés, le point de départ de la maladie reste

toujours la cellule individuelle.

Les trois pathogènes impliqués dans la « grippe »

• La bactérie. C’est par essence un animal unicellulaire.

Techniquement, ce pathogène est défini comme « tout membre d’un

groupe de micro-organismes unicellulaires procaryotes circulaires,

hélicoïdaux ou de forme allongée, réunis en colonies ou se déplaçant

au moyen de flagelles, qui vivent dans le sol, l’eau, la matière

organique, ou à l’intérieur de végétaux et d’animaux, et qui sont

autotrophes, saprophytes ou parasites sur le plan de la nutrition et

jouent un rôle important en raison de leurs effets biochimiques et de

leur pathogénicité »3.

En tant qu’animal, la bactérie a la capacité d’ingérer des nutriments et

de les transformer pour générer l’énergie nécessaire si elle veut

remplir ses fonctions propres. Toutefois, elle est aussi capable de se

reproduire toute seule et possède ainsi à l’intérieur d’elle-même le

code génétique nécessaire des acides nucléiques (ADN).

À ce stade, reportez-vous à la figure 1 (ci-dessous) où nous avons

grossièrement dessiné une bactérie de forme allongée et un virus de

la grippe. Notez que nous avons représenté la bactérie et le virus à

peu près de la même taille, ce qui ne reflète pas la réalité : la taille

des bactéries va de quelques dizaines de micromètres à quelques

centaines de micromètres de long. Le virus moyen, quant à lui, est 10

à 100 fois plus petit que la bactérie.

Bien qu’il y ait des exceptions, la bactérie est généralement entourée

d’une paroi cellulaire non vivante servant à la protéger et à contenir le

constituant liquide appelé cytoplasme. On trouve, en suspension dans

le cytoplasme, l’esquisse de la reproduction (ce que l’on appelle l’ADN)

et, réparties dans le cytoplasme, des particules ribosomales qui sont

les dessins d’exécution (ce que l’on appelle l’ARN), servant à la

fabrication ou à l’assemblage des protéines essentielles et des

enzymes.

Même si la grande majorité des bactéries sont inoffensives voire utiles

dans les processus métaboliques de la vie, certaines contiennent des

toxines qui endommagent gravement les cellules vivantes d’autres

organismes, notamment de l’homme. Pour vous aider à évaluer le

organismes, notamment de l’homme. Pour vous aider à évaluer le

danger des toxines bactériennes, voici un passage du livre

extraordinairement lucide de David S. Goodsell Our Molecular Nature

(Copernicus, New York, 1996, p. 113-14) : « Une seule molécule de la

toxine fabriquée par les bactéries diphtériques peut tuer une cellule

toute entière. Les toxines botuliques et tétaniques sont des millions de

fois plus toxiques que les poisons chimiques tels que le cyanure. Ces

toxines bactériennes ont un dessein meurtrier, ce sont les substances

les plus toxiques connues à ce jour. Elles allient un mécanisme de

ciblage spécifique, permettant aux toxines de chercher et de trouver

des cellules sensibles, à une toxicité que seule une enzyme peut

entraîner. Une fois à l’intérieur de la malheureuse cellule, la toxine

saute d’une molécule à l’autre, les détruisant les unes après les autres

jusqu’à tuer la cellule. »

Ici, bien que nous ne nous intéressions pas à la diphtérie, nous

devons savoir que l’infection bactérienne implique souvent une

pneumonie bactérienne, et c’est généralement cette dernière, suivie

d’autres complications sanguines et nerveuses, qui tue le patient

grippé plutôt que le virus de la grippe en lui-même.

Largage de moustiques scientifiquement infectés

Avant de clore le sujet sur la bactérie, il y a un facteur supplémentaire

à mentionner et à souligner tout particulièrement. Dès 1946, le Dr

George Merck, qui à l’époque dirigeait encore les travaux de recherche

et développement sur les armes de guerre biologique aux États-Unis,

a confié au ministre de la Défense que des chercheurs américains

avaient appris à isoler les toxines bactériennes sous forme cristalline.

Cela signifiait qu’il ne serait plus nécessaire de transporter des

bactéries porteuses de toxines vivantes jusqu’à un « ennemi » pour le

contaminer. Il suffirait de prendre la toxine pathogène sous forme

cristalline et de la transmettre à la cible via un insecte, un aérosol ou

la chaîne alimentaire. Ainsi, on pourrait disséminer une maladie

bactérienne sans laisser la moindre trace de bactérie !

C’est là que le gouvernement canadien, l’armée canadienne et

l’Université Queen’s entrent en scène. Lorsque les États-Unis ont

appris à isoler la toxine bactérienne sous une forme cristalline

transmissible par des moustiques, ils ont demandé l’aide du

gouvernement canadien. Les Canadiens ont accepté et ont commencé

à élever 100 millions de moustiques par mois au Dominion Parasite

Laboratory de Belleville, dans l’Ontario. Ils ont ensuite expédié ces

moustiques au Dr Reid, du département de biologie de l’Université

Queen’s de Kingston, dans l’Ontario. Là, le Dr Reid a infecté les

moustiques avec diverses toxines pathogènes et les a remis à l’armée

canadienne pour qu’elle les partage avec l’armée américaine afin de

les tester sur des centaines de milliers de citoyens sans méfiance de

ces deux pays.

• Le virus. Nous pouvons maintenant jeter un coup d’oeil au microorganisme

autour duquel l’OMS et un certain nombre d’autres

institutions gouvernementales et privées font tant de vacarme, le virus,

en nous intéressant particulièrement à l’espèce aviaire appelée H5N1.

Tout d’abord, voici une définition d’un virus N : 1. Agent causal d’une

maladie infectieuse ; 2. Tout membre d’un vaste groupe d’agents

infectieux inframicroscopiques considérés comme des

microorganismes extrêmement simples ou comme des molécules

extrêmement complexes, qui possèdent généralement une capside

entourant un noyau de matériel génétique (ARN ou ADN) mais pas de

membrane semi-perméable, qui ne sont capables de se développer et

de se multiplier que dans des cellules vivantes et qui provoquent

diverses maladies importantes »4.

Que signifie tout cela ? Regardons de nouveau le dessin de la

bactérie (figure 1). Remarquez la ligne sinueuse qui représente

l’esquisse de la reproduction et qui est appelée acide

désoxyribonucléique, l’ADN. Pour la vie de cette espèce particulière de

bactérie, c’est une chaîne absolument cruciale d’acides nucléiques si

elle veut perpétuer son existence.

Maintenant, supposez que quelque chose vienne tuer la bactérie, par

exemple une variété de pénicilline qui crée une brèche dans la paroi

bactérienne. Le fait de la vider de son cytoplasme tuera cette forme de

vie, mais il y aura toujours une volonté de vivre dans les parties de

l’ADN et de l’ARN. Par conséquent, les particules du noyau d’ADN ou

d’ARN s’agglutinent et s’entourent rapidement d’une capside

protectrice. Voilà ce qu’est par essence un virus : une particule

porteuse d’information génétique entourée d’une capside.

Les virus tuent pour sauver leur peau

Regardez la bactérie d’un peu plus près et remarquez les trois points

représentant ce que l’on appelle les ribosomes. Dans ces organites –

et bien que notre dessin n’en montre que trois, le cytoplasme en

regorge – les acides nucléiques appelés acides ribonucléiques (ARN)

s’assemblent lorsque la bactérie doit fabriquer des protéines et des

enzymes pour pouvoir fonctionner. Comme avec les particules d’ADN,

certains ARN bactériens ont la faculté de chercher à survivre lorsque

leur forme de vie originale est menacée, en s’agglutinant et en formant

eux-mêmes une capside protectrice.

D’une façon ou d’une autre, la force de vie qui motive la bactérie sent

de façon instinctive quelles sont les particules nucléiques qu’elle a

besoin de sauver lorsque la forme de vie originale est menacée. Ainsi,

les diverses espèces de virus sont des particules choisies de code

génétique qui se sont protégées à l’aide d’une capside jusqu’à ce

qu’elles puissent accéder à une autre cellule vivante et poursuivre leur

petit bonhomme de chemin.

Malheureusement, en cherchant à sauver leurs particules de vie, les

virus sont souvent obligés de détruire d’autres formes de vie telles que

des cellules humaines. Lorsque cela se produit, les cellules détruites

se présentent comme des restes de formes de vie antérieures

ravagées par la maladie.

Le lien entre grippe et HIV

À ce stade, nous souhaitons souligner que le virus responsable de

l’ensemble de maladies appelé grippe a de proches parents qui valent

la peine d’être mentionnés. Laissons Lodish et al. nous l’expliquer : «

Certains virus animaux, dont le virus de la grippe, le virus de la rage et

le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), possèdent une

membrane extérieure constituée d’une bicouche phospholipidique, ou

enveloppe, entourant le noyau de la particule virale composé de

protéines virales et de matériel génétique. »5 Alors, existe-t-il quelque

lien mystérieux entre la grippe et le VIH ? Sommes-nous en train de

toucher du doigt les liens établis entre les travaux du Dr Couch, le

spécialiste de la grippe, et ceux du Dr Chanock, le spécialiste du sida

? Après tout, ils ont travaillé ensemble dès 1964 lorsque mycoplasma

pneumoniae était au centre de leurs préoccupations…

• Le mycoplasme.

Poursuivons notre quête de la vérité sur la grippe. Le troisième

pathogène, le plus important bien que le plus négligé des trois, est le

mycoplasme (ci-contre).

Même si l’OMS et d’autres organismes de « santé » veulent vous faire

croire que le virus de la grippe aviaire (le H5N1) est redoutable, c’est

le mycoplasme que l’humanité doit redouter. Nous vous rappelons que

le monde de la médecine officielle ne souhaite apparemment pas que

le citoyen moyen ait connaissance de l’existence d’un tel organisme.

Permettez que nous vous montrions une représentation miniature du

mycoplasme. Commencez par regarder la bactérie. Remarquez qu’elle

possède des ribosomes qui, comme nous l’avons vu, contribuent à la

fabrication de l’ARN, et notez en outre qu’il arrive que des particules

de cet ARN se détachent après la mort de la bactérie et se protègent

en se rassemblant en groupes de huit fragments d’ARN qui sont

ensuite enfermés dans une matrice protectrice et une membrane

cellulaire, et voilà : vous avez le virus de la grippe !

Maintenant, examinez de nouveau la bactérie et remarquez la chaîne

d’ADN. Si la bactérie est tuée, non seulement l’ARN tente de sauver

sa peau sous forme de virus, mais les particules de cet ADN

cherchent elles aussi à survivre en tant qu’organismes vivants en

formant une membrane et en partant à la recherche, au sein de leur

environnement, d’une autre cellule hôte qui les laissera entrer et les

hébergera. Là encore, cette particule d’ADN dépourvue de paroi

cellulaire devient une forme de vie autoréplicative mais quelque peu

incomplète, connue comme une espèce de mycoplasme !

Ainsi, comme le Dr Shmuel Razin, microbiologiste, le décrit, l’idée

sous-jacente au schéma évolutif actuel des mycoplasmes est celle

d’une dégénérescence des bactéries à paroi6.

Ainsi, au départ, une espèce de « bactérie à paroi », qui pour une

raison quelconque (comme l’action de la pénicilline) se désagrège

(évolution dégénérescente). Puis, des particules choisies de l’ADN

bactérien se mettent rapidement en quête d’une autre cellule dans

laquelle elles pourront élire domicile. C’est presque un virus, sans la

laquelle elles pourront élire domicile. C’est presque un virus, sans la

capside protectrice que nous avons remarquée plus haut.

Dans la mesure où il s’agit presque d’un virus, des chercheurs tels que

Carleton Gajdusek en 1976 lui ont donné le nom de « virus non

conventionnel », sans se rendre compte qu’il s’agissait du même

micro-organisme que celui découvert par Nocard et Roux de l’Institut

Pasteur en 1898 et baptisé « mycoplasme ». En 1944, Monroe Davis

Eaton, un microbiologiste américain, est tombé sur cet organisme et lui

a donné son nom : l’agent « Eaton ».

Inoffensif tant qu’il n’est pas traumatisé

En étudiant la source pathogène d’une pneumonie atypique chez les

recrues de la marine américaine au milieu des années 40, le

chercheur sur le sida Robert Huebner a appelé ce micro-organisme «

organisme de la pleuropneumonie ». En 1946, lorsqu’il a découvert ce

même pathogène dans les amygdales dégénérescentes de certaines

recrues, il lui a donné le nom d’« organisme similaire à la

pleuropneumonie » (PPLO).

Enfin, la maladie semblait mettre tant de temps à se déclencher que

plusieurs chercheurs dont Gajdusek ont baptisé ce pathogène « virus

lent » ou « lentivirus », terme inventé en 1947 par le Dr Björn

Sigurdsson.

Ainsi, aujourd’hui, nous avons affaire au microorganisme original de

Nocard et Roux, le mycoplasme, qui apparaît dans la documentation

sous le nom d’« agent Eaton, d’« organisme similaire à la

pleuropneumonie », de « virus non conventionnel », de « lentivirus »,

et plus tard de « substance amyloïde » et enfin de « prion ». À notre

avis, cette multiplicité d’appellations, et la confusion qui en résulte,

n’est pas totalement innocente.

Lorsque le mycoplasme trouve une cellule qui lui permet de franchir la

membrane cellulaire, il se tient généralement tranquille, sans faire le

moindre mal à son nouvel hôte jusqu’à ce qu’il subisse un quelconque

traumatisme.

Le corps dont la cellule fait partie peut être victime d’une collision

arrière ou être traumatisé par une chute sur la glace. Le simple fait

d’apprendre le décès d’un ami très cher peut provoquer un

traumatisme suffisant pour réveiller le mycoplasme dormant.

Lorsqu’elles sont ainsi activées, certaines espèces de particules

mycoplasmiques d’ADN commencent à absorber les stérols préformés

de leur nouvel hôte, finissant par tuer ce dernier. Le tout peut être

qualifié d’« infection mycoplasmique » et se présenter, par exemple,

sous la forme d’une pneumonie, dans laquelle les cellules des

poumons commencent à dégénérer et à libérer du liquide qui inonde

les alvéoles, les cellules contenant l’air à l’intérieur des poumons.

Les dommages mycoplasmiques sont aussi importants, sinon plus,

que les dommages bactériens et viraux causés à un patient grippé.

Ne vous trompez pas de danger

Ceux qui croient au tapage actuel sur une mutation du virus de la «

grippe aviaire » qui serait en train de provoquer une pandémie

mondiale et pensent que les nobles et courageux employés de

l’Organisation mondiale de la santé et leurs agents de presse du New

York Times font tout leur possible pour sauver l’humanité, sont à

mettre dans le même panier que ceux qui croient encore que Lee

Harvey Oswald a agi seul dans l’assassinat du Président Kennedy.

Attention, il pourrait bien y avoir une pandémie mondiale et il se

pourrait qu’elle tue des milliers de personnes par jour sur un certain

laps de temps. Mais les chances qu’elle soit due à une espèce

mutante isolée (H5N1) d’un virus de grippe aviaire sont infimes voire

nulles, alors qu’il y a de très fortes chances qu’il s’agisse d’une

infection mycoplasmique. Si une telle pandémie survient, la cause en

sera bien plus profonde qu’un simple virus aviaire mutant. Elle résidera

très certainement dans les mystères du mycoplasme, ses

caractéristiques et sa prévalence grandissante. Nous pensons qu’une

telle pandémie, si elle doit se produire, ne sera pas le fruit du hasard,

comme on veut nous le faire croire à propos de la pandémie de sida

et du syndrome de fatigue chronique (SFC).

Une pandémie de grippe sera un événement tout aussi programmé

que le lâcher du sida et du SFC sur le monde : elle fera partie d’un

programme de longue haleine visant à réduire la population mondiale.

•Une partie de l’humanité déjà contaminée ?

Lorsque nous avons commencé à passer en revue la documentation

disponible sur la grippe et à préparer un numéro spécial du Journal of

Degenerative Diseases, nous pensions, comme la plupart des autres

habitants de la planète, que nous avions là une autre maladie humaine

ancienne sévissant sous forme de pandémie à peu près tous les onze

ans.

En termes clairs, nous avons pris conscience qu’il se tramait quelque

chose à l’échelle planétaire et que le prétexte de la grippe aviaire

H5N1 contribuait non seulement à faire avancer le projet mais

permettrait aussi après coup aux prophètes de malheur de dire, « Eh

bien, nous aurons au moins essayé de vous prévenir ».

Nous avons relu le module de la Uniformed Services University of the

Health Sciences du Dr Shyh-Ching Lo sur le mycoplasme pour la

dixième fois… et nous avons soudain compris le véritable sens de l’un

des paragraphes de ce module. Voici le paragraphe en question : « La

forme la plus grave de l’infection M[ycoplasma] fermentans est celle

d’une maladie systémique fulminante qui commence comme une

grippe. Les patients voient leur état de santé se détériorer rapidement,

développant de graves complications parmi lesquelles le syndrome de

détresse respiratoire aiguë, la coagulation intravasculaire disséminée,

et/ou l’insuffisance multiorganique. »7

Maintenant, notez bien ceci : ce n’est pas la grippe, mais une «

maladie semblable à la grippe » que tout le monde pourrait en toute

bonne foi confondre avec la grippe – mais ce n’est pas la grippe, et

elle n’est pas due à la souche H5N1 du virus de la grippe aviaire. Elle

est due à un pathogène breveté par le gouvernement des États-Unis !

est due à un pathogène breveté par le gouvernement des États-Unis !

Ainsi, si une pandémie de « grippe » frappe et si certains médecins

essaient de traiter ce qui semble être une pneumonie bactérienne

avec de la pénicilline, cette dernière ne fera qu’aggraver l’infection

mycoplasmique ! Nous pensons qu’une bonne partie de l’humanité a

déjà été contaminée par un agent infectieux mycoplasmique administré

dans les innombrables vaccins qui nous ont été imposés au fil des

années. D’autres vaccins pourraient être pareillement contaminés.

Votre médecin et vous-même penserez que vous avez la grippe

aviaire alors que vous aurez en réalité la maladie du mycoplasme

semblable à la grippe…et qu’elle tuera des milliers de personnes si

elle n’est pas reconnue.

À propos des auteurs

• Donald W. Scott, Maître ès Arts et Sciences (né en 1924) est l’ancien

président de la Common Cause Medical Research Foundation. Il

possède une maîtrise ès arts de l’université Laurentienne de Sudbury,

au Canada, et une maîtrise ès science de l’université de Guelph, à

Guelph, au Canada. Vous pouvez le contacter par téléphone au +1

(705) 670 0180. • William L. C. Scott (né en 1955) est l’actuel

président de la Common Cause Medical Research Foundation et le

rédacteur en chef du Journal of Degenerative Diseases. Titulaire d’une

licence ès arts (avec mention) de l’université Laurentienne, c’est

l’ancien président de l’Association des étudiants de l’université

Laurentienne. Il est président et premier dirigeant d’Executive Services

Limited et termine actuellement ses études de conseiller en

naturopathie. Vous pouvez contacter William Scott par téléphone au +1

(705) 673 0726.

• Donald Scott et William Scott sont les auteurs de Life: From Plants to

Animals to Us (Chelmsford Publishers, Sudbury, Ontario, 2005, ISBN

0-969222-6-4). Leur article a été publié pour la première fois sous le

titre « Influenza: Give Up Something Old For Something New » dans

The Journal of Degenerative Diseases, vol. 6, n° 3 & 4, 2006 et révisé

pour sa publication ici. Vous pouvez contacter les Scott à la Common

Cause Medical Research Foundation, PO Box 133, Stn ’B’, Sudbury

ON P3E 4N5, Canada. 77

Notes

1. Nous avons exposé certaines de ces preuves dans The Journal of

Degenerative Diseases (vol. 5, n° 3, automne 2004) et dans notre

dernier livre Life: From Plants to Animals to Us, nous n’y reviendrons

donc pas ici.

2. Parmi les rapports les plus authentiques et les mieux documentés

sur l’usage des armes biologiques par les Américains durant la Guerre

de Corée, citons The United States and Biological Warfare de Stephen

Endicott et Edward Hagerman, publié par Indiana University Press,

1998.

3. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, 1999, p. 60.

3. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, 1999, p. 60.

4. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, p. 747.

5. Molecular Cell Biology, W.H. Freeman, New York, 2000, 4e édition,

p. 713.

6. Mycoplasmas: Molecular Biology and Pathogenesis, éd. Jack

Maniloff et al., American Society for Microbiology, Washington, DC,

1992, p. 4.

7. The Journal of Degenerative Diseases, vol. 5, n°2, p. 28).

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